Chimio #2

09/03/03

Puisqu’on m’a installé la chambre implantable, cette deuxième chimio est plus facile que la précédente.

On commence par me poser un patch anesthésiant sur la peau, au-dessus de la chambre. Une heure après, on y plante une seringue à angle droit munie d’un cathéter et on fait tout pareil sauf que c’est pas dans le bras donc, pas d’alarmes indues (ou presque pas) et possibilité de surfer sur le net ou d’écrire sur l’ordi pendant l’écoulement des produits.

Cette chimio #2 aurait pu être parfaite, si le radiateur de la chambre n’avait pas été défectueux. Oh il chauffait bien, mais au prix d’un bruit important. Dans la journée, je n’avais pas vraiment percuté, cela se mélangeant aux bruits extérieurs: les gens, la clim de la cafétéria, la télé… Mais une fois les gens évacués, la cafète fermée et la télé éteinte, ben t’entendais que ça. J’avais oublié de prendre des bouchons d’oreilles en plus…

Prise de ouch’ et tu tournes, tournes, tournes et te retournes dans ce lit, dont tu réalises, ce faisant, l’étroitesse et l’inconfort. Vers deux du mat’, tu finis par appeler l’infirmier qui n’a pas de solution à part couper le radiateur, ça n’arrête pas totalement le bruit mais ça le réduit un peu, et te refiler une couverture en… papier (?) pour terminer ta nuit de folie. Autant dire que j’ai dormi trois heures en tout et pour tout.

Niveau contrecoup, ce fut assez semblable à la #1, pas trop de hoquet cette fois, mais même période de fatigue, deux/trois jours après et même retour à la normale le mercredi. Juste avant une autre aventure 😉

 

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Après

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Sans cesse sur le métier… Pendant trois gros mois, de fin janvier à début mai,

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Les électriciennes en blouse blanche Bon là encore, elles sont venues à deux pour se